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Mail Website: Gepost op26/06/2006 om 20h15
Tu nous manques énormément!
On ne pourra pas assez le répéter.
Veille sur ma petite 'déesse'demain, elle aura besoin de toi. Tu pouvais si bien l'encourager.
Moi je n'y arrive plus.
Demain nous penserons tous très fort à toi, sans oublier ta famille.
Tu es quelqu'un d'exceptionnel, François !

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julie bourguelle Mail Website: Gepost op26/06/2006 om 11h42
je suis a tes yeux ainsi qu'a ceux de ta famille,une petite etrangere.une petite etrangere qui neanmoins a beaucoup entendu parler de toi.ca peut te semblait bizar mais a ton sujet,des larmes j'en ai versées!je pleure facilement je reconnais ok mais ton histoire profondement elle m'a touchée!je comprend les personnes qui se mordent les doigts car elles avaient encore tant de choses a te dire,tant de choses a te confier,mais malheureusement tu les a quittés!la maladie une fois de plus a battu l'homme!pour croire que le M de maladie est beaucoup plus fort que le H de homme.si je voudrais j'aurais encore des tonnes de choses a faire passer a travers ce message mais sans savoir pourquoi me voici bouche baie devant l'ecran!je voudrais juste que de la ou tu es tu saches lire tous ces commentaires qui te sont adressés car sincerement ils sont super bien fait!dis toi que tu as quittés les gens que tu aimes pour ceux que tu as aimé!a toutes les personnes concernées,je présente mes sinceres condoleances.

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Mail Website: Gepost op25/06/2006 om 23h53

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C.A. Mail Website: Gepost op23/06/2006 om 19h28
Salut,
je ne sais pas ou tu es et ca me perturbe,
pourquoi es - tu parti ? ou es - tu ?
J'éspere vraiment que tu te sens bien la ou tu es,... je t'admire de plus en plus, pour moi tu restes la, toujours la et je t'admire de plus en plus. La vie ne vaut pas la peine d'etre vecu, si on ne la vie pas comme un reve ... ct notre citation a nous ... Toi, tu as vécu ta vie comme un reve, encore ces 3 dernieres années tu l'as vécu comme un rève ... et je trouve ca vraiment fabuleux. Parfois je me demande si ce ne serait pas mieux que je te rejoigne la ( je ne vis pas la vie comme un reve)... ou la vie est differente mais toujours présente ...
Francois,
Je t'aime,
a bientot,
C.A.

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Mail Website: Gepost op22/06/2006 om 20h18
François, prends soin de ma petite DS demain.
Elle aura besoin de toi. Merci.

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Françoise Mail Website: Gepost op17/06/2006 om 20h45
Bonjour François,

Quand je pense à toi, je souris car je n’ai que des bons souvenirs de toi ; bien sur, il y a eu ta maladie mais pour moi, tu étais François (point).
Ta vie ne se résume pas aux deux dernières années, elle est bien plus riche encore.
Un jour, il y a bien longtemps, j’ai entendu parlé Elisabeth de son brad adoré et depuis ce jour là, j’ai compris qu’il y avait quelque chose de fort entre vous :
Etait-ce de l’amitié ou de l’amour ?
Vous seuls pouvez répondre ; tu emportes ton secret.
Il faut dire qu’au patro quand on cherchait l’un, on regardait où était l’autre.
On rigolait souvent de ça !!
Puis, pour toi, on a pleuré, supplié, prié, espéré.
Tu as pris une place particulière dans notre famille et je t’en remercie. La famille du cœur est souvent bien plus présente que la famille de sang.

Un geste de ta part qui m’a beaucoup touchée, c’est ta visite après l’accident d’Elisabeth en janvier dernier car s’il y avait quelqu’un qui avait besoin de recevoir une visite, c’était bien toi et toi, tu pensais aux autres qui avaient des petits maux.
Je n’oublie pas le sourire d’Elisabeth qui dévale les escaliers et qui me crie : maman, tu ne devineras jamais qui vient me voir ?

Lors de nos visites à l’hôpital, nous sortions toujours confiant en l’avenir tellement tu dégageais une sérénité qui t’était propre.

Je te remercie pour avoir su ouvrir le cœur de milliers de personnes et j’espère Que les bonnes résolutions prises au cours de ta messe d’au revoir, seront suivies.
Tu as su toucher tous ces gens en restant simplement
toi –même ; c’est dire si ta nature était riche.

Tu ne t’es pas construit tout seul et je veux aussi rendre hommage à ta famille en commençant par ta maman.
Elle t’a mise au monde et jusqu’à l’infini, elle restera ta maman. Tu es parti dans ses bras car tu savais, plus que quiconque, que l’on n’est jamais mieux que dans les bras de sa maman.

Elle a une force intérieure, un courage, elle était emportée dans ton tourbillon de vie et de lutte.
Elle a souffert autant que toi dans son cœur et je vous félicite d’avoir su garder le contact entre vous et d’avoir su exprimer ce qu’est le véritable amour.
Car, pour moi, toute cette force, cette détermination, cette volonté de vivre, c’est dans l’amour que vous alliez tous la chercher.
Tu as eu beaucoup de chance d’être toujours entouré et eux comme nous, on a eu une chance énorme de t’avoir connu.
Ton combat et ta mort nous ont remué le cœur.
Avec ton papa, tu avais une relation privilégiée.
Je le vois, arrivant dans ta chambre avec du pain fait maison, plein de petites attentions pour soulager ton quotidien.
Il avait, à mes yeux, un rôle super important à jouer ;
Celui de pilier masculin et de personne qui fait le lien entre la clinique et la maison tout en t’apportant autant d’amour que ta maman.
Il fallait aussi beaucoup de courage pour te laisser le soir et rentrer s’occuper de tout.
Il n’en a pas manqué, non plus, en dénonçant les problèmes de santé des habitants d’amougies. C’est à toi et pour toi, qu’il a soulevé cette montagne. Quelle preuve d’amour !
Je lui souhaite beaucoup de volonté et de persévérance pour continuer car les ‘bonnes gens’ n’aiment pas que l’on remue les choses, que l’on met en doute, que l’on accuse ….
Mais pour moi, la réponse est simple : la vie de François et de tous les autres en valent la peine.
En pensant à François, je pense immédiatement aux deux petits qui le suivaient toujours.
Je me revois, à 17 ans, confrontée à la maladie et la mort de mon grand- père.
Après on a l’impression que l’on est en décalage avec les jeunes du même âge et on a déjà d’autres préoccupations, d’autres façons de voir la vie, la révolte intérieure que personne ne semble comprendre,….
Votre cœur est riche de cette épreuve et celle-ci restera acquise pour toute votre vie et vous portera loin.
Personne n’est prêt à voir souffrir ni à voir mourir quelqu’un qu’on aime et ceci à n’importe quel âge mais François est avec vous et restera à jamais pour vous, le grand frère idéal et le modèle à suivre pour beaucoup….

Comment vivre avec son absence, cela est un long chemin tout à fait personnel ;chacun doit le suivre à sa manière et à son rythme.
L’important dans un deuil, c’est de ne pas refouler ses sentiments et les exprimer au moment où ils arrivent.
Ensemble dans une famille, c’est le respect de l’autre qui prime et surtout accepter les différences de réactions, même si elles nous semblent parfois déplacées.
Je pense aux gens qui vont souvent au cimetière, aux gens qui installent des dizaines de photos, qui gardent tous les objets….
Ce qui vous paraît insupportable aujourd’hui, vous le ferez peut-être demain….
Aucun mot ne peut vous soulager en ce moment et c’est bien compréhensible mais sachez qu’autour de vous, il a des gens prêts à vous écouter, à vous accueillir même en crise de larmes, à parler, à vous consoler même si souvent on le fait maladroitement car personne n’a la formule miracle.
Je sais que tous les jours seront difficiles mais j’ai confiance en vous, tous les cinq, vous y arriverez !

J’ai été très touchée par tous les témoignages des jeunes et moins jeunes et je me dis : il y a des gens qui vivent en voulant à tout prix marquer leur passage d’une façon ou d’une autre, qu’il y a des gens âgés qui ont eu une vie bien remplie comme on dit et qui, au moment de l’au revoir, se retrouvent seuls ou presque et que leur souvenir s’éteindra aussi vite qu’une flamme.

Chaque personne avait une relation particulière avec François et le gardera dans son cœur, chacun à sa manière.

Pendant la magnifique messe d’au revoir forte en messages d’amour et d’espoir en la vie, j’étais en pensée avec François et je plongeais mes yeux dans les siens.
Je me disais : il part dans la lumière comme il a vécu.
Mais pas dans une lumière qui aveugle, qui empêche de voir les autres ; juste quelques rayons qui réchauffent et sous lesquels on a envie de se blottir.

Au revoir François et puisque tu pars, garde en mémoire mon au-revoir

J’ai écrit cette lettre il y a quelques jours mais je décide de te l’envoyer aujourd’hui, le 17 juin car je sens depuis ce matin, comme ton regard sur notre maison et bien sur sur ton Angelina !!!!

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